Histoire de Finale – Finale 2.0.1
C’était en 1992 et c’est cette année là que j’ai acheté ma première version de Finale. A l’époque édité par Coda software. Je délaissai l’Atari Méga ST4 et les logiciels Proscore et Encore. J’avais décidé de gravir un échelon dans mon équipement de gravure musicale.
En ce temps là, presque la préhistoire de l’informatique, les logiciels étaient chers mais on en avait pour son argent. Finale était rangé dans une grande boite cartonnée contenant pléthore de guides et de manuels sans compter les disquettes aux deux formats de l’époque, le 5.25 et le nouveau 3.5. Le tout pesant près de 5 kilos.
J’avais acheté pour l’occasion un ordinateur, le plus puissant du moment. Un Dell avec un processeur dernier cri, un 486DX2 cadencé à 66 Mhz, embarquant 8 Mégas de mémoire et un disque dur de 230 Mégas. J’avais cassé ma tirelire pour acheter tout ça, je m’en souviens encore.
Aujourd’hui j’ai retrouvé la boite de Finale en haut d’une étagère et je l’ai ouverte. Souvenirs.
Voici ce que j’y ai (re)trouvé.
Dans la boite en gros carton bien solide qui a résisté jusqu’à aujourd’hui il y a :
3 gros manuels :
– Volume 1 Learning Finale 122 pages
– Volume 2 Finale Encyclopedia 280 pages
– Volume 3 Finale Référence 395 pages
3 fascicules
– Finale startup guide
– Printing supplément
– Finale update guide
2 disquettes 5.25
4 disquettes 3.5
2 plaquettes
– Seville Key Caps
– Quick référence card (la seule doc qui persiste aujourd’hui)
Bien sûr toute cette littérature était en anglais, la traduction de Finale en français n’apparaît qu’avec Finale 2001.
J’ai passé quelques mois dessus…
Depuis j’ai utilisé toutes les mises à jour et toutes les versions jusqu’à la 2010. La 2011 sera pour septembre.
J’ai aussi essayé d’autres logiciels de gravure musicale comme Sibelius mais je trouve incomparable la souplesse et la puissance de Finale. Quelques exemples de gravures réalisées avec Finale
A lire aussi l’évolution de la distribution des logiciels à travers Mon histoire avec Finale